L’autre jour il y avait Mon-amie-qui-n’aime-pas-les-double-dates et on calculait tranquilou des covariances (on aime bien faire ça le dimanche soir malgré que personne ne nous rémunère pour cette activité fort utile). Du coup on parlait de choses très intelligentes comme de la taille des cornichons polonais (ils sont tellement gros) ou des gens qui ne veulent jamais planifier leurs samedis soirs avec toi parce qu’ils espèrent jusqu’à la dernière minute qu’ils auront des trucs BIEN MIEUX à faire (et souvent, non). Tout cela nous a logiquement menées à la conclusion suivante : les mecs qui font les Disney mangent des cornichons polonais le samedi soir ne sont pas des types très clairs.
Exemple.
Tu as tranquillement 7 ans, tu aimes les coquillettes au Ketchup et les chewing-gums collés sous les bancs du square. Si tout va bien (si tes parents t’achètent les autocollants Panini qui te permettent d’avoir une vie sociale), tu n’as pas l’idée d’inventer une histoire qui inclut des nains amoureux d’une post-adolescente qui les oblige à se laver les mains et qui dort dans leurs lits. Les mecs de Disney, eux, pensent (en 1937) que c’est un truc qui va cartonner en CE2 (ils ont raison). Pour remettre les choses en perspective, en 1992, ma mère ne voulait pas que je regarde Sailor Moon parce qu’elle trouvait ça trop violent (PLEASE).
Mais il y a pire.
Mon-amie-qui-n’aime-pas-les-double-dates me raconte que sa petite soeur en pinçait pas mal pour Simba (oui, le Simba du Roi Lion). Soit. En aînée raisonnable, elle lui conseille de se faire une raison parce même si le type est plutôt beaugosse, il est déjà maqué avec Nala.
Il y a toutefois un meilleur argument : SIMBA EST UN PUTAIN DE LION.
Les mec de Disney sont juste malsains.
(J’étais moi-même amoureuse de Robin des Bois)(Ce mec est un RENARD)
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