Pour rigoler je me baladais sur le portail des maladies infectieuses de Wikipédia

(Wikipédia c’est hyper bien quand on s’ennuie, mais pas que.)

En fait y’a des portails sur des thèmes très alléchants comme la virologie ou la bioétique, mais moi ça ne m’intéressait pas trop alors je suis allée sur le portail Sexologie (humaine)(car il y avait le choix) parce que je me demandais ce qu’ils pouvaient bien raconter les gens de Wikipedia là-dedans.

Je me doutais que ma sensibilité à fleur de peau n’allait pas être très très heurtée, parce que c’est un site de l’Internet qui est tout à fait accessible aux mineurs (et puis si je voulais des contenus un peu olé olé j’irais directement à la rubrique lingerie de la Redoute)(d’ailleurs puisqu’on en parle, je sais pas vous mais moi ça ne me donne pas envie d’acheter sur un site du ouèbe où j’aurais toujours l’air moins bonne dans la culotte qu’ils veulent me vendre que le mannequin qui a été photographiée sans sa tête)(tellement elle était bonne).

Et bien figurez-vous que dans ce portail de la Sexologie (humaine je le répète) il y a une catégorie ça m’a  fait bien rigoler, c’est la catégorie piercing parce qu’il y a des personnes qui ont carrément rédigé un article qui s’appelle piercing au téton. Même il y a une photo et  l’historique dudit piercing au téton ainsi que ses conséquences sur l’allaitement. C’est proprement fascinant (il y a vraiment des gens qui n’ont pas grand chose à faire)(pourquoi n’en profitent-ils pas pour jouer à The Legend of Zelda ? Je ne sais pas). Moi le piercing je ne trouve pas ça très sexuel, je trouve ça moche.

Sinon sur le portail des maladies infectieuses ben il y a vraiment des trucs trop dégueulasses. (Au début je voulais mettre des liens vers des images mais c’était tellement dégueulasse que j’ai même pas eu le courage de cliquer dessus)(alors que d’habitude, je ne suis pas trop timorée du clic).

Ça m’a rappelé la fois où j’étais en Birmanie (je suis une aventurière un peu con) et j’ai eu une maladie y’a déjà des gens qui sont morts de ça (Choderlos de Laclos et Dagobert). Un jour peut-être que je raconterai comment c’était, mais n’y comptez pas trop parce que c’est un grand traumatisme trop la honte.

Enfin voilà quoi.