Il y a ce livre, je l’aime un peu bien parce que ça parle d’étudiants révolutionnaires et que ça se passe en Russie (ce pays me fascine beaucoup parce que des paysans y ont vécu des centaines d’années fouettés au knout)(ce mot est TELLEMENT drôle). En plus j’adore carrément la littérature russe (la littérature telle que Le Général Dourakine car il y a tout plein de charité chrétienne dedans, et aussi Anna Karenine même si en vrai c’est surtout un livre de fesses).
Alors franchement, c’était assez bien parti pour me plaire.
Sauf qu’il est tellement long (et écrit petit).
D’habitude les gros livres j’aime bien ça parce que ça me donne un air très intelligent, et d’ailleurs je fais attention à ne pas avoir mes lunettes rondes en plastique parce qu’après je ressemble à une sale polarde qui regarde que des films d’Arte en allemand (alors que moi ce que je préfère c’est Les Mercredis de l’Histoire, même si ça parle tout le temps de comment c’était horrible la vie sous Brejnev ou de comment c’était horrible la vie à Buchenwald).
Là, j’aime pas trop parce que ce livre est vraiment chiant.
Je me force quand même à le finir parce que j’ai toujours l’impression que je ne pourrai pas légitimement poutrer un bouquin si je ne l’ai pas lu jusqu’à l’épilogue. Et sérieusement, rien que pour ça, j’ai presque envie de prendre des notes.
(Je ne vous dis pas le nom cette enclume tout de suite)(SUSPENSE).
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