(cette fourbe période) mais au moment de prendre mon vélo pour aller au travail, tout était différent il n’y avait plus de crottes de chien dans ma rue :
Non seulement il faisait jour (la vie est formidable) mais en plus, il y avait du sea sex and sun.
La bonne aubaine, j’ai pensé en me réjouissant comme une petite dinde.
N’écoutant que mon cœur (et ma vanité), je suis remontée chez moi chercher l’accessoire qui allait faire de moi une gravure de mode pleine de grâce et de sensualité débile en avance sur les saisons : mes lunettes pour le soleil (celles que j’ai achetées en Chine pour une somme d’euros totalement ridicule).
J’étais toute jouasse en retournant tout l’appartement dans l’espoir de mettre la main dessus.
Pas de trace de mes Dolce Galbani (je ne comprends pas).
Cela signifie-t-il que je me vois désormais dans l’obligation d’en acquérir au plus vite ? (OUI)(sur le ouèbe ?)(ÉVIDEMMENT).
Depuis, ma vie est un enfer fait de lunettes de soleil : dois-je acheter celles-ci (qui nécessitent la participation active de mon héritage en mélanine) ou celles-là (le choix des Parisiennes, toujours prêtes à prendre des risques côté look).
(Je vous tiens au courant).
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