j’ai pris Nono, la Baronne et mes remps avec moi et je suis partie vivre à Tahiti (spamal cette île). C’était une décision très courageuse car je laissais derrière moi mes gentils couquinous qui ne faisaient qu’à couiner de désespoir dans leur cage (et de fait : ils sont morts).
(Pour les sans-coeurs qui ne s’intéressent pas aux rongeurs à poils angora : nous parlons de cochons d’Inde).
Je désirais très ardemment remplacer mes coquinous par d’autres (mieux), mais des questions de climat puis d’instabilité géographique ont fait obstacle à ce beau projet de vie.
Mais je ne suis pas femme à renoncer si facilement et toutes les conditions sont réunies désormais : demain, je vais adopter des coquinous.
La vie est formidable (il ne me manque plus qu’un aspirateur).
Pour générer une pensée unique de l’Internet :