(c’est à dire, volontairement).
Je ne sais pas si ça fait de moi une personne très bête (sûrement un peu), mais je doute que ça m’aide à résoudre la question qui me taraude depuis qu’il fait plus de dix degrés celcius : puis-je porter du jaune pâle en toute impunité ?
Je ne sais pas. Je vais réfléchir à ce problème (sans l’aide de Manu, n’en déplaise à monsieur Debonne mon vieux professeur de philosophie, qui pensait déjà à l’époque que j’étais une sale connasse).
En attendant, le jaune pâle me cause beaucoup de soucis très graves.