Alors autant côté esprit, je me sens assez pure (j’entends des voix qui m’exhortent à libérer le royaume du joug anglois), autant côté corps, j’ai comme l’impression que ce maté tant porté aux nues n’a pas bien fait son boulot. Depuis que je consomme ce breuvage, mon Surmoi (celui qui ouvre sa gueule tout le temps) a décidé de compenser cette frénésie de bonne volonté par un regain d’obsession pour les faux papis Brossard de chez Lidl (ceux dans lesquels aucun ingrédient n’existe vraiment).
On n’est pas aidé.
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