où il n’y avait pas Daniel Brühl* (autant dire que j’étais très déçue), mais où il y avait Cécile et mon collègue Dan (qui est suédois, c’est pour ça qu’il parle très bien schleu).
*Daniel, si tu me lis (ce qui est certainement le cas), je veux me marier avec toi.
Je n’ai donc pas totalement perdu ma soirée (même s’il n’y avait pas de punch ! franchement : une soirée sans punch ?) puisque nous avons passé une bonne partie de la soirée tous les trois à commenter cet excellent article qui explique que les Allemands ne savent pas flirter (ont-ils même une vie sexuelle ? je ne sais pas).
On était bien d’accord avec l’auteur qui dit que les femmes allemandes sont beaucoup trop féministes (« je veux être considérée comme une personne, pas comme une femme » : non mais ALLÔ ? Cette personne -donc- n’a jamais abusé du prétexte fallacieux des menstruations pour sécher le boulot !? Être considérée comme une femme c’est TROCOULE !) et que les hommes allemands étaient beaucoup trop empotés (- Salut, je voudrais bien coucher avec toi, – Mais, heu, pourquoi ?, – Je ne sais pas, ça te dirait pas ? – Si, mais pourquoi…, – Oké : laisse tomber).
Décidément, bitcher sur les Allemands (en collectivité) est une des choses que je préfère.
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