aujourd’hui c’est l’anniversaire de la Baronne, cette fille formidable dont j’ai le privilège de partager l’ADN (mais pas le sens pratique).
Ma sœur, qui a eu la bonté de rire à mes blagues et de partager son goûter une bonne partie de son enfance (si je suis grosse et prétentieuse c’est de sa faute), a aussi eu la bonne idée d’être parfaite en toute occasion (laissez-moi vous dire que ce ne serait pas elle qui ferait des blagues sur Hitler au Festival de Cannes).
C’est la préférée de mes parents (mais franchement, c’est la moindre des choses), notamment parce qu’elle est très sportive (c’est un attribut valorisé dans ma famille) et qu’elle est passée maîtresse dans l’art de lécher les bottes de ma mère cuisiner les boulettes d’agneau.
La Baronne c’est la seule personne de ma connaissance qui a su rendre l’esclavagisme golri : quand on était petites et qu’on jouait à la Princesse et la Servante, c’était toujours moi la Servante (entendons-nous bien : je le voulais bien). On ne peut juste rien lui refuser (ce qui va sûrement poser des problèmes à son mec un jour ou l’autre), c’est l’ENFER.
(J’ai totalement oublié de poster son cadeau)
(Je sais ce que vous pensez bande de petites fouines : mais j’aurais pu faire encore plus cheap avec une eCard Yahoo)
Joyeux anniversaire la Baronne ! Je t’aime comme dans Brisby et le Secret de NIMH aka le dessin animé le plus flippant de la terre quand la maman souri elle n’a même pas peur des rats pour guérir son souriceau (la comparaison n’est pas très bien choisie dans la mesure où tu n’as pas la pneumonie et où je ne me fringue pas en cape de haillons).
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