quand j’ai découvert que j’avais substantiellement moins mal lorsqu’il y avait un poids sur mon thorax (ça empêchait ma plèvre tout infectée de bouger et donc de m’arracher des gémissements de sanglier traqué).


A défaut de me faire remporter le concours Lépine, cette ingénieuse trouvaille prouve à quel point l’être humain s’adapte merveilleusement bien à tout un tas de situations – aussi extrêmes soient-elles.
Autant dire que je me sens carrément prête pour une traversée de l’Iran en string ficelle.
Pour générer une pensée unique de l’Internet :