à la recherche de la prestation musicale d’une certaine Fabienne Carat. (Il faut dire un truc à propos de la bande, c’est que ce ne sont pas les derniers à vouloir rigoler)(certainement parce qu’ils vivent en Belgique, ce pays où si on leur ôte l’humour il ne leur reste plus que les frites).
Après investigation auprès de la Princesse, qui est une personne de connaissance médiatique, cette Fabienne s’avère posséder de très nombreux talents puisqu’elle est également une des comédiennes de Plus Belle La Vie (vous savez, ce feuilleton de service public qui est devenu en quelques années le fleuron de la fiction télévisuelle française).
La profondeur des paroles, la sobriété du décor et l’élégance des costumes : tout y est.
Qu’on ne vienne plus jamais me dire que l’exception culturelle française a perdu de sa superbe.
on lit bien la souffrance sur son visage de femme brisée
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LOL
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C’est moi, ou elle dit « je me suis oubliée », avant de danser avec des gants Mapa de ménage? Cette fille n’est pas très propre…
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Ce clip c’est l’enfer sur terre.
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Une chorégraphie, un leather style, et surtout, surtout, une mélodie qui restera gravée dans nos mémoires.
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je pensais avoir a faire a un blog de QUALITE , me voila tres decue
[je vous laisse jusqu’a lundi pour vous resaisir]
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PRESSION
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vous oubliez, tout de même, de souligner le timbre unique de sa voix, qu’on reconnaîtrait parmi mille autres tant il est distingué.
mais ça prouve aussi qu’on peut essayer d’être connue en s’appelant Fabienne, ce qui n’était pas gagné d’avance (avec tout le respect que j’ai pour ce prénom).
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je tiens à préciser que cette Fabienne Carat a lancé ‘darkpink’ comme son alter-ego (wais, comme Beyoncé et Sash Fierce) et toute une gamme de produits dérivés (maquillage, linge de maison, vêtements, parfum…) en même temps que le CD. le pire, c’est que la gamme marche plutot bien… j’éspère que ce n’est pas le cas pr le CD.
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On n’est jamais au bout de son lol.
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Esthétique intéressante: une chanteuse qui a la tête d’un mix parfait entre Linda Lemay, Jennifer Ayache, Avril Lavigne et Rebecca Black.
Le tout décoré par un désopilant vendeur de sex-toys en ligne, éclairé par un ancien chef de rayon PollyPocket chez Toys’r’Us et filmé par un caméraman de soap-opéra philippino-malais.
Arithmétiquement parlant, le pire de la société en 2011 en quelque sorte.
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Pas mieux.
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