il y avait cette émission que j’ai choppé en cours de route juste au moment où ça parlait pas mal de Berlin, alors forcément j’avais envie d’en savoir plus. Je n’ai pas très bien saisi si c’était rapport à l’Histoire temporelle, à la philosophie du branlage intellectuel, à la littérature romanesque où à la sociologie des gens, mais j’ai compris que l’invité avait écrit quelque chose, et ça parlait d’un sujet assez audacieux et provocateur sur fond de Mur de Berlin.
Autant dire que j’étais bien contente pour lui qu’il ait trouvé le courage d’avoir une opinion aussi tranchée sur cette période de l’Histoire.
D’ailleurs le journaliste n’a pas hésité à lui demander de nous expliquer un peu qu’est-ce qu’il y avait derrière tout ça, car son livre c’était sûrement une métaphore de quelque chose de très intelligent, non ?
(C’est à ce moment du récit que je vous suggère d’activer le mode « leçon de vie »).
Oui, en fait ce que je voulais montrer dans ce livre, c’est que dans la vie, on a tous des murs. On n’y pense pas au premier abord, mais j’ai trouvé que le parallèle avec le Mur de Berlin résonnait comme une évidence. Mettre en lumière les obstacles, pour mieux les abattre. Même si ça doit prendre du temps.
L.O.L.
Jusqu’à ce jour, moi aussi je pensais que c’étaient les grands penseurs de notre pays qui étaient invités de France Cul. Pas les auteurs de Cent Lieux Communs pour les Teubés.
…
Please somebody call the there-is-a-moron-in -my-radio Police.
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