(oui alors O.L.N.I c’est comme O.V.N.I mais pour les bouquins – je préfère préciser au cas où Frédéric Lefebvre fasse partie de mes lecteurs).
Je voulais absolument raconter de quoi ça parle (d’autant plus qu’avec ce livre ce qui est très bien c’est qu’il est absolument impossible de crier au spoiler) mais pour ça j’ai besoin d’écrire les passages que j’ai préférés (je fais toujours ça dans mes fiches de lecture) et comme je déménage demain, la merveille en question est tout au fond d’un carton (on dirait un mot d’excuse pour sécher le cours de français le mercredi matin de 8 à 9, mais non).
Tout ce que je peux vous dire, c’est que j’ai bien rigolé (et je ne suis pas quelqu’un de très très bon public, sauf quand il s’agit de blagues sur ta mère) et que quand vous aurez lu ma critique très impartiale (vu que j’ai adoré) vous aurez une très bonne idée de cadeau pour les anniversaires de toutes vos copines.
(de rien).
(la mise en page est dégueulasse : j’ai l’intime conviction que ce brave ami wordpress cherche à me chasser de la blogosphère).
Pour générer une pensée unique de l’Internet :