aujourd’hui (enfin, hier) je devais raconter comment qu’on a failli se faire violer à la frontière jordanienne. Pour tout vous dire, j’avais confusément prévu d’expliquer cet incident par le fait que j’étais particulièrement bonnasse au moment des faits (le soleil de la Terre Sainte a fait tripler mes seins de volume)(LOL)(I wish) et que Benjamin soulevait les passions homosexuelles en arborant fièrement une connaissance absolument indécente des choses du tissus (« la popeline », « l’organdi », « la crêpe »)(si) et de la biographie de Stéphane fucking Mallarmé (ou Prosper badass Mérimée, who cares).
Toutefois, j’ai été retenue par le Grand Capital à qui j’ai du expliquer comment il pourrait gagner plus d’argent grâce à son système d’information (hélas, ce type d’imposture est relativement fréquent dans mon métier – les gens n’ont pas encore remarqué que je ne suis bonne que pour une chose : le swag dans un contexte de choses du yiddish).
Bref, c’est très dommage car on ne parle que trop rarement de relations sexuelles non consenties sur ce blogue. Mais ne vous en faites pas, il n’y a rien de sensationnel non plus (ni MST, ni gang bang sur fond de ramadan).
En revanche, je maintiens que les Jordaniens devraient mater moins de films pornos allemands des années soixante-dix. Like, vraiment ils devraient.
PAS DE GANG BANG SUR FOND DE RAMADAN! (ça a l’air bien pourtant)
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Bon, me voilà rassurée, merci. Drôle des gens ces Jordaniens, pourtant…
Je réfléchirai avant d’y aller, grâce à vos récit éclairés
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Si je peux me permettre, on dit « le crêpe ». (« Noémi Péloueyre s’ensevelit dans le crêpe pour trois ans. », François MFing Mauriac)
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Et bim.
So much pour le brag sur les choses de tissus.
Merci B.
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